Newsletter du Lundi
11/12/23

Paru le

Les indiscrets du lundi 16 février

--> Criteo nous fait savoir qu'il n'a jamais mis en jeu son implantation en France, comme nous l'avions évoqué dans nos indiscrets de la semaine dernière, dans la négociation en cours sur la loi Sapin et les ad exchange. La société de Jean-Baptiste Rudelle ne devrait pas tarder à exposer son point de vue publiquement.

--> Au dernier Petit Club, Aline Bonnet, de Youtube, a demandé à Guillaume Marolleau quels étaient les process de validation interne chez Fleury Michon. "Nous nous demandons toujours comment une start-up ferait. Et quand nous avons le feu vert sur un projet, il n'est plus besoin d'autres validations" a-t-il expliqué. Une ligne de conduite que devraient adopter toutes le grandes entreprises en quête d'agilité.

--> "Quand je vois ces chiffres, je me demande ce que j'achetais avant" s'est exclamée Catherine Gotlieb, Media Manager de Volkswagen, lors de la présentation des résultats d'une campagne digitale de sa marque pendant un panel des Techdays, organisés par Microsoft. En utilisant la technologie OCR, l'annonceur avait en effet réussi à obtenir 82% de couverture sur cible (soit 47 points de plus que la moyenne de ses campagnes) pour un coût sur cible inférieur de 57% à la moyenne. "On est d'une exigence folle sur le digital [25% du budget média de la marque], beaucoup moins sur le offline" a-t-elle conclu.

--> Ce même panel a été l'occasion de soulever un problème étonnant : avec le programmatique et le ciblage accru des campagnes web, les Directeurs Généraux ne voient plus nécessairement les campagnes de leurs marques ! Les habillages de homepage achetés en direct ont donc encore de beaux jours devant eux...

--> Les robots sont à la mode dans les soirées RP : Nao, du français Aldereban était présent à la fois à l'événement Mister H de Mondadori et chez Soon, d'Axa, qui fêtait son premier anniversaire.

--> Lors de la prise d'otage à l'Hyper Casher, Danone a demandé, via son agence média Mediacom, si l'afficheur pouvait retirer l'affiche "Activia" qui se trouvait sous les feux des projecteurs. Impossible évidemment, dans cet environnement cerné par les militaires. Mais la marque a eu le souci de contexte de diffusion de son message, contrairement au Club Med, comme nous le signalions dans un précédent indiscret.

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