Qui ?
Stéphane Bodier, président de MediaBrands France, Laurent Foisset, DG d'UM, Baptiste Tougeron, Directeur Performance de MediaBrands Analytics, Guillaume Théaudière, directeur du planning stratégique d'UM.
Quoi ?
La présentation de l'étude économétrique Dataluxe PEO, qui étudie 9 marques du luxe et de la mode (Dior, Chanel, Lancome, Longchamp, Hermes, Burberry, Eric Bompard, Zadig&Voltaire, The Kooples).
Comment ?
"Avec les big data, l'économétrie et les ad exchange, le média planning de papa est définitivement mort. La puissance des chiffres nous permet d'être beaucoup plus performant" explique Stéphane Bodier. Pour l'illustrer, UM a réalisé 18 modèles économétriques permettant d'analyser les corrélations entre Paid (achat média), Earned (buzz) et Owned (intérêt pour la marque).
3 marques réalisent le plus de synergies entre ces 3 dimensions.
- The Kooples : "avec 40% d'investissements publicitaires en plus en 2011, la marque obtient le meilleur ROI en termes de trafic sur site" explique Guillaume Théaudière. Avec sa saga autour des couples, la marque incite à s'immerger dans son univers.
- Lancome : "c'est la marque qui génère le plus de conversations, avec là encore 40% d'investissements supplémentaires en 2011". Avec sa nouvelle égérie, Emma Watson, la marque a réussi à toucher la génération Y et à susciter de nombreuses conversations. Lancome se distingue aussi par sa capacité à mobiliser les "vlogueuses", ces jeunes femmes qui parlent maquillage sur Youtube.
- Burberry (client d'UM) : "c'est l'exemple du cercle vertueux, où les investissements média génèrent du buzz et de l’intérêt. Cela tient à la personnalité de Christopher Bailey, qui gère tout." UM a régulièrement des réunions à Londres avec lui, parce qu'il tient à savoir ce qui se dit de sa marque sur Twitter et Facebook. Que ce soit avec The Art Of the Trench, Tweetwalk ou Burberry Acoustic, la marque entretien la notion de privilège pour sa communauté.
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