--> Mark Zohar dirige Viafoura, un outil de gestion et d'engagement communautaire en ligne. Il revient ainsi sur le retrait de Facebook News de France Allemagne et UK : "Facebook, Google, ou Twitter ne sont pas vos amis. Ils ne sont pas vos partenaires. Ce sont des algos sans âme travaillant pour des clics et des encores. Pas pour l'information de la communauté ou le journalisme de qualité. Le futur des médias doit être construit sur des bases solides, pas sur du sable. Cela commence par reprendre le contrôle et par construire des relations directes avec son audience sur ses propres sites et applications et par ne pas outsourcer les communautés, les conversations et les audiences aux plateformes technologiques." CQFD.
--> De son côté, Bruno Guglielmetti, dresse ici l'enjeu du séisme en prévision : "la semaine suivant le début de la suppression du contenu d'actualité par Meta, les pages vues de Facebook vers les sites d'actualité au Canada ont chuté de 51 %."
--> Jason Kint (qui dirige DCNs) revient ici sur le procès de 10 semaines qui s'ouvre à Google aux USA : " "Google tente d'obtenir du juge que son procès sur ses comportements anti-concurrentiels ne soit pas diffusé sur Zoom : "C'est ce que vous faites quand vous avez un pouvoir extraordinaire sur les gouvernements. Le public devrait être outragé".
--> L'Alliance de la presse générale d'information est partie en croisade pour minorer la taille des black-list, ces listes de mots interdits par les annonceurs sur les pages des médias où ils font leurs publicité. Selon cette étude britannique, les médias perdraient 20 % de leurs revenus en ligne à cause de ces interdictions. Pierre Petillault , qui dirige le syndicat, a rencontré les représentants des annonceurs et des agences et les ad-vérificateurs comme IAS, avant l'été et une réunion est encore prévue à la rentrée. "Les black-list contredisent la mission d'information du public. Et sont contraires aux valeurs RSE des entreprises". L'objectif du syndicat ? Que les acheteurs révisent annuellement leurs listes pour éviter l'inflation de mots clés. "Notre objectif est que cela devienne transparent et revu régulièrement".
--> Depuis l'an dernier, le krach "immobilier" du métavers a continué et a empiré : selon Wemeta, cité par Les Echos, les prix au m² de cet immobilier virtuel ont tellement baissé qu'ils sont proches de zéro, et les transactions ont encore chuté de -87% en 2023.
