Newsletter du Lundi
11/12/23

Paru le

Les indiscrets du lundi 25 avril

--> Le nouvel opus de la saga des bébés d'Evian nage à contre-courant. A l'heure de la publicité ultra-courte, "Baby Bay" dure 90 secondes, "un petit morceau de ciné" ont expliqué Marielle Durandet de BETC et Véronique Penchienati, directrice générale d'Evian Volvic World à la soirée de lancement aux Bains la semaine dernière. "La publicité en ligne est intrusive. Tant qu'à frapper à la porte des gens, autant arriver avec des fleurs." Le public appréciera-t-il ce nouveau bouquet ?

--> Mêmes les cabinets d’avocats d’affaires font leur transformation numérique : le cabinet Baker & McKenzie vient de publier sur les Appstores une application mobile pour éclairer ses employés et ses clients sur la re-numérotation des articles du code civil. Le service est gratuit et ouvert, une façon de cibler aussi ses futurs employés, les étudiants en droit.

--> Il y a quatre ans, Electronic Arts était noté pire service client de sa catégorie... une douche froide, qui a provoqué un électrochoc en interne. Depuis, l'éditeur de jeux vidéos a créé une entité centrale en charge de la donnée, qui les partage ensuite entre ses différents services.

--> A I-Com, Blake Cahill, Global Head of Digital and Social Marketing de Philips, en charge de la transformation digitale du groupe (lire notre article sur ses astuces pour digitaliser l'entreprise), a annoncé qu'il avait harmonisé ses indicateurs de performance sur tous ses marchés depuis deux ans, afin de permettre de comparer les actions d'un pays à l'autre.

--> Aux Pays-Bas, Mars a étudié ses campagnes publicitaires avec la technologie realEyes, pour analyser les mouvements du visage et les émotions suscités par les spots. Résultat : un spot qui ne provoque pas d'émotion vend beaucoup moins bien (dans 75% des cas). Petit conseils de Real Eyes aux publicitaires : "laisser l'impact fort à la fin du spot". L'impact fort, traduit par réal Eyes, c'est la tête qui bouge...

--> Et si la grande mesure en temps réelle et internationale que les grands instituts de mesure bâtissent pas à pas existait déjà (du côté de Facebook) ? Médiamétrie et SKO intègrent les données de Facebook : qu'est ce qui empêchera la firme de Mark Zuckerberg de s'imposer comme le panel mondial ? La question a suscité un certain flottement sur la scène d'i-Com à Séville Josh Casin de Comscore a répliqué en s'abritant derrière ses clients : "Nos clients sont concurrents de Facebook, ils n'achèteront jamais une telle mesure". Les clients de Comscore, oui. Mais les clients de ses clients, les annonceurs ?

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