Newsletter du Lundi
11/12/23

Paru le

Les indiscrets du lundi 21 septembre

--> Après l'avoir développée pour son usage interne, Facebook a commencé à proposer "Facebook at Work", son application de travail collaboratif, à une centaine d'autres entreprises... En France, My Little Paris est l'une des premières à utiliser ce concurrent de Slack ou Yammer. En Israël, l'usage de "F@W" est mis en avant par certaines start-up dans leurs offres de recrutement, comme un "perk" (un avantage), aux cotés de la mutuelle et de la cantine. Une version Freemium pourrait être lancée d'ici la fin de l'année.

--> Un groupe français de services B2B spécialisé dans la Supply Chain cherche son Chief Digital & Marketing Officer. Pour postuler, c'est ici.

--> TO by Lipton, la machine à thé d'Unilever, a été conçue comme une véritable start-up dans le groupe, qui ouvre la voie à la vente directe au consommateur et au "nanoPNL". Cette notion, développée avec FaberNovel, permet de remonter jusqu'à l'individu pour étudier sa rentabilité.

--> Hinde Pagani quitte le groupe Pernod Ricard pour Hermes, qu'elle rejoint comme DGA en charge du digital.

--> Le site du Club Med a enregistré une augmentation de 13% de ses réservations en affichant des messages d'urgence, de type "dernière chambre restante". Par contre, le compte à rebours sur la homepage s'est révélé contre-productif : il engendrait la constitution de dossiers aux paniers moyens plus faibles et diminuait le taux de conversion, alors que le nombre de clic augmentait. "Cet exemple illustre l'importance de bien choisir les indicateurs qu'on regarde" a expliqué Guillaume Thénault, Senior Web Analyst chez Club Med lors d'un petit-déjeuner sur l'AB Testing organisé par Converteo et Kameleoon.

--> LaFourchette vient de recruter Guillaume de Lacroix (ex-CDiscount et Staples) en tant que Chief Marketing Officer Monde.

--> Keolis va s'appuyer sur la solution de ticketing mobile britannique Masabi. Le partenariat aurait aussi une contrepartie capitalistique.

--> Il fallait faire preuve de beaucoup d'abnégation pour suivre les interventions du France Digitale Day qui se tenait au Carreau du Temple mardi dernier. Pas moins de 66 intervenants se succédaient pendant 6 heures, majoritairement des Français s'exprimant en Anglais. La scène installée au milieu des stands et du brouhaha, façon ring de boxe, rendait difficilement audibles les interventions. Ceux qui comptaient se rabattre sur le live-stream n'étaient pas mieux lotis. Après avoir contourné le paywall des Echos (qui hébergeait le player sur une page réservée à ses abonnés) et avoir affronté des publicités vidéos plein-écran*, il fallait encore composer avec un flux capricieux, au son saccadé. Nous avons jeté l'éponge.

*(Au fait, la vidéo Nespresso sur laquelle nous avons été contraint de cliquer en espérant pouvoir la fermer renvoyait vers une page d'erreur)

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