Folle effervescence autour de l'IA. Folle effervescence technologique, en tout cas. Mais l'expérience sur les chatbots et les assistants vocaux reste désespérément plate, laissant peu de place à l'imaginaire. L'intelligence artificielle gagnerait beaucoup avec certains artifices, justement. Et figurez-vous que la voix n'est aujourd'hui pas sujette aux droits d'auteur. Du coup, à quand Alexa prenant celle de Scarlett Johansson (la voix du film Her) ou de Bourvil, pour la SNCF ? Ou celle de Philippe Noiret pour la Vache qui rit ?
Geneviève Petit