Le candidat Macron était faible sur les réseaux sociaux (on ne construit pas un écosystème d'influence en un an), où il a subi toutes sortes d'attaques de propagande (mais pas encore en réalité virtuelle, ouf). Mais il avait les médias  "classiques" derrière lui (pas de Fox News pour déballer les "Macron Leaks", vendredi). Et surtout, ces militants pour le  porte-à-porte, s'appuyant sur les big data. Chez Petit Web, on le sait : depuis l'avènement des réseaux sociaux, rien ne vaut le contact "face to face" pour obtenir un engagement (comme de poser votre candidature à notre Grand Prix de l'Innovation Digitale , jusqu'à vendredi). Plus le monde devient virtuel, plus on revient à la main serrée. CQFD.

Geneviève Petit